jeudi 29 mai 2014

Samedi 31 mai et dimanche 1er juin, à la Maison du Livre de Saint-Gilles à partir de 14 heures...


S'arrêter, respirer, repartir


Infos :

BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.

mardi 27 mai 2014

Samedi 31 mai et dimanche 1er juin, à la Maison du Livre de Saint-Gilles à partir de 14 heures...




Et partager avec vous quelques voyages immobiles...






BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.


jeudi 22 mai 2014

Quelques photos, et les textes qui les accompagnent, à découvrir à la Maison du Livre de Saint-Gilles. 




Infos :

BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.

vendredi 16 mai 2014

Quelques photos, dont celle-ci, à découvrir à la Maison du Livre de Saint-Gilles, quelques photos et les textes qui les accompagnent...


BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.