dimanche 23 novembre 2014

Rien, ni personne, ne t'oblige à entretenir le feu dit l'homme étrange à l'enfant.
Mais si tu le laisses s'éteindre, sans avoir rien tenté pour en raviver les braises, ne viens pas, après, te plaindre d'avoir froid...



vendredi 14 novembre 2014

Quand tout semble s'obscurcir je pense à Hartung, à Soulages
Alors, je sais que la lumière est partout...

 

Hommage

mercredi 12 novembre 2014

mardi 9 septembre 2014

Merci à Fabienne Rynik de m’accueillir dans ce magnifique lieu...




mardi 26 août 2014

lundi 18 août 2014

mercredi 11 juin 2014




 En ce moment, à Charleroi



 


J'aime l'idée que mes photos s'exposent dans des bibliothèques
J'aime ces rencontres d'imaginaires
 
 
 

jeudi 29 mai 2014

Samedi 31 mai et dimanche 1er juin, à la Maison du Livre de Saint-Gilles à partir de 14 heures...


S'arrêter, respirer, repartir


Infos :

BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.

mardi 27 mai 2014

Samedi 31 mai et dimanche 1er juin, à la Maison du Livre de Saint-Gilles à partir de 14 heures...




Et partager avec vous quelques voyages immobiles...






BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.


jeudi 22 mai 2014

Quelques photos, et les textes qui les accompagnent, à découvrir à la Maison du Livre de Saint-Gilles. 




Infos :

BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.

vendredi 16 mai 2014

Quelques photos, dont celle-ci, à découvrir à la Maison du Livre de Saint-Gilles, quelques photos et les textes qui les accompagnent...


BORDS DE MONDES

MARTINE CORNIL
Photographies de Martine Cornil accompagnées de textes d’écrivains, publié(e)s
dans le livre Bords de Mondes aux éditions maelstrÖm reEvolutions en 2012.
JPEG - 11.5 ko
« Chez Martine Cornil, la photographie interroge l’énigme du visible, sans la résoudre. Derrière l’apparence, elle dévoile l’inconnu. Dans l’univers familier de la parole, nous évoquerions l’indicible ou le cheminement labyrinthique de la phrase qui tente sans repos de désincarcérer la complexité des choses. Ici, l’image est rêverie du vrai. Reflet abstrait du réel, la photographie en désintègre les carcans : sature les couleurs, diffracte les lignes, explose les volumes. Le renouvellement de la perception auquel l’artiste nous invite, nous plonge dans l’abasourdissement. Martine Cornil ouvre des fenêtres aux murs de l’inconnu. Il faut se placer face à la lumière de chacune et laisser l’oeil traverser la muraille des apparences. Sans balises, ni bornes, ni mesures. Les certitudes n’ont plus cours. Les azimuts sont bouleversés. Le minuscule et le majuscule se confondent. L’horizon et le proche s’entrelacent. La prose est poésie. Les mots sont musique. Parfois, au cours de notre voyage, nous essayerons de nous rassurer en identifiant des bribes fugaces d’un savoir ancien. Mais le mirage supplantera bien vite l’illusion du vrai et nous poursuivrons la traversée de l’océan. L’œuvre est aussi un miroir sur l’inconnu qui la regarde. L’image devant laquelle nous nous tenons interroge ce que nous sommes dans le réel. De même que le lecteur ré-écrit chaque livre, le spectateur ré-invente sa perception de l’eau, de la terre, de l’air, du feu. Il s’interroge au plus intime de son humanité. Il devient, s’il consent à une part d’abandon, le créateur d’un univers à la fois intime et infini. Mais, et c’est peut-être là l’essentiel, il s’éveille à une autre curiosité au monde : renouvelée, vierge, insatiable. Il admet sa propre complexité. Il consent à interroger plutôt qu’à répondre. N’est-ce pas là une des fonctions vitales de l’art ? Martine Cornil y ajoute sa propre vibration : la poésie du regard. »
Jean Jauniaux
Textes de Luc Baba, Marianne Bastogne, Pascal Blondiau, Francis Dannemark, Xavier Deutsch, Sandrine Emmery, Michèle M Gharios, Théophile de Giraud, Alain Helissen, Paul Hermant, Corinne Hoex, Virginie Holaind, Jean Jauniaux, Michèle Lenoir, Françoise Lison-Leroy, Veronika Mabardi, Rony De Maeseneer, Daniel Martin-Borret, Serge Noël, Colette Nys-Mazure, Kenny Ozier-Lafontaine, Patrick Placentino, Vincent De Raeve, Milady Renoir, Luc-André Rey, Dana Shishmanian, Vincent Tholomé, Christine Van Acker, Catherine Ysmal.
L’exposition est visible au rez-de-chaussée de la Maison du Livre, du 17 mai au 1er juin 2014, les mercredis, jeudis, et vendredis de 14h à 18h, et les samedis et dimanches de 14h à 19. Fermé les 29 et 30 mai.
Entrée libre.

jeudi 20 mars 2014

En ce moment chez Haute Antique, 207 rue Haute à Bruxelles 


Tout bruisse
Laissons passer le vent

jeudi 13 mars 2014

Un parti pris : ne pas retravailler les photos, capter la réalité telle qu'elle se présente à moi dans la magie de l'instant.
A voir chez Haute Antique, 207 rue Haute à Bruxelles


Quand on vit un rêve éveillé on ne craint pas le réveil

lundi 10 mars 2014

Quelques photos s'afficheront dès ce mardi 11 mars à partir de 18h30 chez Haute Antique, 207 rue Haute à Bruxelles...

Dans la fusion
Tout est tu

jeudi 6 mars 2014

A voir chez Haute Antique, 207 rue Haute à Bruxelles, dès le 11 mars

Parfois, se mettre en apnée
Juste pour retrouver le plaisir de respirer

mercredi 5 mars 2014

Quelques photos à découvrir "en grand" dès le 11 mars à partir de 18h30 chez Haute Antique, 207 rue Haute à Bruxelles. Quelques photos dont celle-ci...


Je me souviens, c'était un matin amoureux et la lumière était belle au jardin